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chainonL’entente du libre échange telle qu'écrit,

est dépourvue d’un élément indispensable (un salaire minimum à titre de critère.

Nous savons tous que nos élus sont contrôlés majoritairement par les multi-nationales.

Certains de ces employeurs peu soucieux de l’environnement, n’hésitent pas à exploiter les gens au maximum en déménageant leur production dans des pays où les lois environnementales sont inexistantes ou presque, et les lois humanitaires y sont au plus bas niveau, rien ne freine leur but: augmenter leurs profits.

Conséquences ici

Les employeurs justifient leurs actions en calculant le coût de l’exportation de la matière première, la transformation en produit fini, et le transport à l’usine d’ici (transformée en entrepôt). Résultat de ce calcul: il est plus profitable de s’installer à l’étranger que de produire ici. Ces employeurs se départissent de la majorité de leurs employés, et par le fait même du syndicat, s’il y en a un. Il en résulte que leurs anciens travailleurs se retrouvent laissés à leur sort, donc à la charge de l’état.

Une entente de libre-échange sans un salaire minimum à titre de critère pour faire partie des Nations Unies, c’est un libre-échange avec un chaînon manquant.

Consultez le site des Nations Unies pour connaître la manière de transmettre ce message, veuillez l’adresser au soin du secrétaire général de l’ONU.

Message: Qu’un salaire minimum soit partie intégrale des critères de base pour faire partie de cette organisation.

 

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