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Le Québec doit avoir sa propre marine marchande. Un navire pour le transport de ses marchandises, c’est un incontournable. Un Québec, dans sa première année
d’indépendance, doit acheter un bateau pour transporter sa marchandise et son pétrole, faire rénover son bateau ou ses bateaux chez Verreau (Gaspésie) et s’il y a un deuxième, chantiers maritimes Devy (Lévis), des conteneurs faits par Canam Manac (Beauce), la fabrication de composants dans les quatre coins du Québec pour les voitures électriques et un TGV en construction pour rouler à travers le Québec, ainsi qu’un train magnétique entre l’aéroport de Mirabel et le centre ville de Montréal, qui seront aussi en service au peuple avant la fin du premier mandat d’un Québec indépendant.
Nous aurons besoin de ces conteneurs et des bateaux pour les transporter, ainsi que pour subvenir
aux besoins des pays qui auront des contrats de fournitures pour le TGV trans-Québec.
Une marine marchande québécoise est de mise. Beaucoup d’autres projets en dépendent.
Montage financier
Des projets nous en avons, et nous avons les capacités et la matière grise pour les réaliser, mais
pour agir en toute liberté, il faut se donner les moyens.
Premier atout pour financer ces projets
Les syndicats: la FTQ avec le fond de solidarité a aujourd'hui un actif de plus de $7.4 milliards, les
Réer la FTQ constituent la principale rentrée de fonds. La CSN va dans le même sens aujourd'hui
mais nous n'entendons moins parler d'elle compte tenu qu'elle a débuté tout dernièrement. Les
Caisses de retraites et les fonds mutuels en 1996 totalisaient plus de 250 sociétés. Leurs
succursales implantées au Québec ont déporté plus de $200 milliards et aujourd’hui en 2006 c’est
plus de $300 milliards d'économie québécoise. Et comme pour faciliter les exportations de notre
économie, en 2005 le conquérant qui siégeait à Ottawa sous la bannière libérale a illimité la limite
de contenu étranger des régimes enregistrés permettant du fait même aux investisseurs d’avoir
100% de placements étrangers dans leurs RÉER.
Deuxième atout pour financer ces projets
Le critique en matière de finances de l’opposition officielle du parlement de Québec, le député de
Rousseau, M. François Legault, écrivait en 2005 qu’après les cinq premières années d’un Québec
souverain que celui-ci dégagerait un profit de $17 milliards après avoir payé la part de la dette
fédérale et le rachat de tous les actifs fédéraux en sol québécois.
Si nous prenons comme exemple, le fédéral a remboursé plus de $90 milliards sur sa dette depuis
10 ans et que nous formons le quart de la population, cela équivaut à $22.5 milliards sur 10 ans, à
raison de $2.25 milliards par année. En se basant sur le rapport du député de Rousseau, ça serait
$11.25 milliards à ajouter à son $17 milliards pour un total de $28.25 milliards.
Voici ce que le CD Howe Institute des États-Unis d'Amérique écrivait lors du référendum sur la
souveraineté du Québec en 1995: Pas de dettes venant de l'extérieur du Québec aux Québécois et Québécoises, en vertu du droit international qu'un Québec souverain n'a pas d'obligation légale d'assumer une quelconque dette fédérale et ainsi deviendrait propriétaire de tous les actifs présents fédéraux sur son territoire et sans compensation. (Charte des Nations-Unies représentant 3 milliards de personnes et 188 pays. (Adresse Internet: www.un.org/french).
Avec ce montant de $28.25 milliards, tous ces projets mentionnés et bien d’autres sont plus que
faisables, ils sont même réalisables.