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Réponse à madame Johanne Vaudry Blumenfeld de Brigham.   La taxe scolaire :  une solution trouvée depuis longtemps

Seul le ministère de l'Éducation sera le percepteur de la taxe scolaire qui aurait un bureau local
dans la M.R.C. et le diviserait à part égale, par enfant enregistré dans les commissions scolaires.  

Ceci éviterait la perte de temps des évaluateurs pour savoir dans quelle commission scolaire va
telle ou telle personne, compte tenu que son nom est de consonance anglaise ou française, moins de copies, feuilles d'évaluation plus faciles à remplir.  Pour ce qui est des personnes de langue française qui envoient leurs enfants à l'école anglaise, ils font ce que l'ex-présidente des Townshippers, madame Heather Keith-Ryan, voulait éviter, les exodes des anglophones.

Quand un enfant va à l'école anglaise en sol québécois, c'est le chemin de l'exode.  Les études terminées, ils partent à la recherche d'un emploi aux États-Unis, en Jamaïque, en Afrique du Sud ou en Angleterre.  Les parents de ces enfants sont très chanceux s'ils voient les enfants et grands-
enfants, une ou deux fois par année à Noël et pendant leurs vacances.  

C'est inconcevable de voir des gens, pas faire la différence entre mentalité et une ou des langues qui sont des outils de communication, de travail, etc.  Au Québec, il faut savoir lire et écrire le français.

P.S. :  Madame Heather Keith-ryan envoie ses enfants à l'école française, elle.

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